Question de hasard. (Avec Savannah Gardner)

Peut-être qu’au fond de lui, il avait espéré qu’elle rentre volontairement dans ce bar. Oui, il n’était pas forcément déçu, loin de là. C’était sans doute la confirmation du diction qui dit que le hasard fait parfois bien les choses, mais une petite voix lui hurla tout bas qu’il aurait presque espéré que cette demoiselle précisément soit venu pour le voir. Un autre sourire glissa sur ses lèvres, alors qu’il observait son regard se voilé par l’agacement. Bingo. Un point pour Owen! S’il l’avait chronométré, il aurait peut-être même battu un nouveau records. Cette idée lui arracha un gloussement amusé, se souvenant du jour, ou il l’avait provoquer par tout les moyens, cherchant a la faire sortir de ses gonds, un chronomètre dans la poche arrières de son jean’s délavé. A vrai dire cette journée-là, il avait effectué un score de vitesse particulièrement impressionnant. Dommages que le souvenir de ce qu’il lui avait dit pour l’énerver soit désormais trop flou pour s’en rappeler. Une vague lueur de nostalgie tangua dans son regard, alors que son regard n’avait pas encore trouver la force de se décrocher d’elle.

« Tu sais ce qu'il te dit mon soda, petit pois ? Étouffe-toi avec ! »

Sans s’y attendre, un rire guttural, un de ceux profond qui prend racine a la base du ventre, glissa hors de sa bouche. Provocant quelques regards de clients curieux. Pendant un instant il oublia presque qu’il se trouvait sur son lieu de travail. Il avait l’impressions d’être de retour a 16 ans, devant cette fille timide mais pleine d’un mordant obsédant. Une tigresse déguisée en brebis. Un long frisson traversa Owen qui afficha une mine satisfaite. Se souvenait-elle de cette époque ou il s’amusait a tout faire pour qu’elle recrache ses boissons par le nez ? Se souvenait-elle des regards interloqués du restes du groupe, de ce non-dit, se précieux secret qu’ils avaient ensemble construit au gré des jours? Owen esquissa un sourire.  ‘’Petit pois’’ En tant normal, il lui aurait bien fait payer. Mais s’il voulait sincèrement la mettre mal, il devait être usé de ruse pour ne pas attirer l’attentions de tout les petit clients trop curieux. Savannah sembla réaliser et son visage s’éclaira.

« Après toutes ces années... tu ne peux pas t'empêcher de m'embêter »

L’homme éclata de rire.  Non visiblement, certaine habitude sont impossible a changer. Pour Owen, l’envie de se manger une bonne claque de la part d’une Savannah en furie semble tout aussi intéressant que de l’entendre rigoler.  Et que dire de cette mine presque complice que la femme affiche désormait. Il éclata de rire, plus que satisfait. Après presque 20 ans, elle avait bien eu le temps de comprendre sa petite mécanique de provocation, pourtant c’était plus fort qu’elle. Toujours là, a sauter a pied joint dans les perches les plus piquantes et les plus foireuse. Cesserait-il un jour ce petit jeux ? Probablement pas.

- Chacun ses petits vice…» Glousse le barman, lui décrochant un clin d’œil amusé. «Ça fait bien longtemps Savannah…. »

Owen pivote, attrape une bouteille, puis un autre. Sert un vers a quelqu’un, prend en note la commande de quelqu’un puis repart trente secondes a l’arrières avant de revenir a sa petite brune, presque agités. Il n’a pas envie de couper court à ce petit début de conversations. A vrai dire, il avait bien cherché à savoir. De façons subtile il c’était renseigner auprès d’Adam, qui dans les circonstances n’avait pas trouver autre chose à dire qu’elle avait surtout l’air en forme…en tant qu’avocate dans leur procédure de divorce.  Qu’aurait-il bien pu demander d’autre ? ‘’Au fait Adam, je sais que tu es en divorce, mais tu me refilerais le numéro de la meilleure amie de ton ex-femme ? J’aurais bien envie de voir si je suis capable de lui faire sortir du soda par les narines’’  La tête qu’aurait fait Adam aurait probablement valu tout l’or du monde, mais le risque de remuer le couteau dans les plaies de son meilleur ami n’était jamais quelques choses de réjouissant, et ce peut importe a quel point les yeux de Kiwi était émoustillant. Une lueur amusé le traversa alors qu’il observait a nouveau celle qui avait été et qui serait probablement encore longtemps sa meilleur amie.

- Petit pois ? » Souffla-t-il doucement en ronronnant presque de plaisir «C’est bien parce que tu  n’a jamais encore expérimenter la marchandise, que tu dit ça. Tu ne tiendrais pas le même discours sinon….»

Lui décrochant un nouveau clin d’œil. Owen se pourlécha les lèvres comme pour ponctuer le côté salace de sa phrase. Il était décidément entrain de disjoncté, ou pas… Mais il était électrisé par une envie puissante de jouer et surtout de jouer avec elle.

Lorsque Savannah Gardner affichait cette petite moue d’enfant de 4 ans, digne des plus grandes boudeuses. Owen lui, craquait de part en part. Pris entre l’envie de rire et celle de la capturer dans ses bras pour déposer tout une liasse de baisé vorace dans son cou, sur sa nuque… Bien évidemment, il n’allait jamais jusqu’au bout sa penser. Après tout il n’en avait pas véritablement le droit. C’était une de ses nombreuses faiblesses, un de ses nombreux vice. Savait-elle seulement que lorsque sa bouche se pliais dans cette petite moue toute adorable, lui, il avait bien envie de se mettre à genoux pour l’Exaucer a la seconde? Dire qu’elle avait toujours eu le don de le mener par le bout du nez sans jamais vraiment s’en rendre compte. Alors, il en profitait. Usant de ce petit côté diabolique en lui, qui l’incitait doucement a provoquer sa petite brune, poussant chaque situation jusqu’au bord de l’explosions.

« Ca fait bien trop longtemps Owen… »

Il hocha. Bien évidemment, trop longtemps. Si le groupe avait continuer a se voir, avec le temps c’était devenu de plus en plus difficile. Savannah avait été une perte. Un de celle qui font terriblement mal. Il c’était souvent demander ce qu’il advenait d’elle. Était-elle en couple ? C’était-elle mariée ? Avait-elle fondée une famille avec une dizaine de marmot. Owen rigoler a cette idée, mais fronça les sourcil, se surprenant lui-même a fixer ses doigts, a la rechereche d’une bague en or. Ses doigts, dépourvu de potentiel alliance, le rassurèrent et il se surpris a recommencer a respirer. Se frottant la nuque presque mal a l’aise de l’Avoir un instant même si rapide fixé avec attention, il croisa les doigts en souhaitant qu’elle n’est pas remarquer l’attention toute particulière porter soudainement a ses mains. Pendant un instant il voulu se crier a lui-même ‘’Bon sang Owen reprends toi !!’’ Et il du attirer son regard vers un autre client pour reprendre sa prestance habituel. Un coktail de plus de fait et de servie, il se rapprocha a nouveau de sa belle amie, un large sourire amusé de nouveau sur les lèvres. Plus aucun signe de perturbations dans le regard.

« C’est marrant, vous les gars, vous nous sortez toujours la même phrase. Pourtant, on ne la teste jamais vraiment cette marchandise. N’est-ce pas Owen ? »

Comme foudroyer par la foudre. Owen tiqua. Tout son corps en prois a de délicieuse décharge, il l’observa comme si c’était la toute première fois qu’il posait son regard sur elle. Savannah n’était plus une enfant. N’était même plus une adolescente rougissante cherchant a fuir l’emprise du grand méchant loup. Non elle était là a lui faire face et durant trente seconde, Owen sembla véritablement désemparé. Une lueur d’excitation c’était illuminé dans son regard au même rythme que ses yeux la dévoraient désormais presque sans vergogne.  Elle avait clairement de quoi faire perdre la tête. Cette Savannah là, Pleine d’audace était clairement un véritable petit danger pour sa son pantalon. Depuis quand avait-elle autant de répondant ? Owen se mordilla la lèvre inférieure, Un petit tic qu’il avait bien l’habitude quand il était dans la lune, entrain d’imaginer des truc pas trop catholique. S’il n’y avait pas eu tout ses clients, il se serait même peut être surpris a lui offrir un essais de matériel, là directement sur le bar. Bien évidemment que c’était une idée complètement folle, mais ô combien délicieuse. Il était surpris d’une façons toute nouvelle, la belle Savannah jouant sur son propres terrain, un jour a marqué d’une pierre  blanche. Amuser, un large sourire plaqué au lèvre. Owen s’approcha d’elle, se penchant doucement par-dessus son bar, rapprochant son visage beaucoup plus près. Heureusement que ce fichu bar était entre eux…  

- Mais, moi je n’ai jamais eu de soucis avec l’idée de TE faire faire un tours carrosseries… »

Il laissa sa phrase en suspens. Pour la première fois, il lui disait presque du tac au tac qu’il avait eu et qu’il avait depuis longtemps envie d’elle. Sans perdre son sourire, sans même fléchir. Il lui décrocha un petit clin d’œil complice. Après tout, ce n’était pas comme si elle ne s’en était jamais rendu compte si ? Il avait toujours été très subtile certes, mais pas face à elle non ? Il sembla réfléchir. Bon il y avait eu la fois a la plage…même s’il était un peu saoul, ça compte non? Quoi que dire ‘’Sav je te dévorerait a la petite cuillère’’ n’est peut être pas la phrase parfaite pour dire, vient dans mon lit ce soir. Puis il avait eu la fois ou il avait foutu son poing a son petit copain. Il avait adoré se débrasser de ce fichu parasite…

« Un shot de tequila m’sieur le barman »

M’sieur. Owen frisonna presque de plaisir et lui décrocha un nouveau sourire charmeur avant de s’emparer de la bouteille de Téquila. Bien évidemment, pour Owen la téquila ne pouvait signifier qu’une chose. L’envie de faire la fête, de profiter et cette fois, il n’avait  même pas envie de l’envoyer promenez avec son brevage. Il la servit presque docilement, avec une habilité a peine cacher et il lui souria a nouveau. Captivé.

- Continu de m’appeler M’sieur et je risque d’y prendre goût….» siffle-t-il doucement encore plus amuser.

Il lui décrocha un nouveau sourire et se servit le même breuvage. Les avantages d’être Barman et bien c’est de profiter aussi un peu de ce qu’on sert. Il a droit à un shooter de temps en temps et si d’habitude, il ne boit pas, cette fois il veux bien faire une petite exceptions. Il lui fait un nouveau clin d’œil approchant son verre du siens

-  On trinque a cet exceptionnel miracle ?» laisse-t-il doucement d’une voix chaude et modéré «Après tout, pas tout les jours que j’ai la chance d’avoir la belle Savannah assise a mon bar.»

Il porte le verre a ses lèvres, le regard amusé et charmeur.  La confiance lui sort même par les oreilles. Une drôle de lueur tangue dans son regard alors qu’il est absolument incapable de la quitter ne serait-ce qu’un instant des yeux. Elle lui manquait, mais peut être beaucoup plus qu’il l’aurait cru.

L’entendre l’appeler Monsieur lui arracha une moue espiègle. Il adorait ça. C’était même plutôt évident, ses yeux brûlant se posant sur sa bouche, comme sur le point de la dévoré. Dire qu’elle jouait avec lui ! C’était même plutôt évident. Une sorte d’évidence qui en le frappant l’avait affamé et certainement pas pour de la nourriture. Elle était terriblement sexy. Il en connaissait des tas des nana, il en avait vu des tonnes de types différente mais aucune n’avait ce petit truc qui donnait a Savannah cette saveur particulière, Peut être le goût de l’interdit ? Peut être le fait qu’elle avait toujours été la seule femme qu’il se soit refusé a toucher. Ouais c’était forcément ça…. Enfin… Il y songea un instant avant de revenir a sa jolie cliente, qui avalant cul sec lui arracha un sourire plus qu’amusé.

 « Et ce n’est pas tous les soirs que je rencontre d’aussi beaux garçons dans un bar. Fais attention, je pourrais y prendre goût »

Sa bouche tiqua d’instinct. Comme un chasseur devant sa proie, son sourcil arqua et il jeta un regard qui se voulait discret dans la pièce. Bien évidemment elle le charriait et cela lui arracha une petite moue déconcerté. Il s’en serait rendu compte tout de suite s’il n’avait pas eu ce petit pincement d’agacement inopportun. Loin de lui l’idée de commencer un combat de coq dans son propres bar.
«Tu sais, je ne pensais jamais te revoir Owen. Tu m’as terriblement manqué ces dernières années. »

Se détendant presque aussitôt qu’il c’était agacé, Owen inclina doucement la tête, lui souriant sincèrement. Il n’avait jamais imaginer qu’ils se reverraient. Encore moins depuis que Adam lui avait annoncer son divorce. Il avait cru que ça sonnerait officiellement la fin de leur petite groupe et que dans un sens, son train était partit sans lui a bord. Mais la vie ne fait-elle pas bien les choses ? Il avait probablement autant de chance de gagner au loto que de croiser Sav ainsi. Surtout qu’en fait c’était son jour de repos. Une petite vois intérieur remercia mille fois son collègue d’avoir procrée et de s’être absenter ! Grace a lui, il passait une excellente soirée.
« J’espère que tout s’est bien passé pour toi ces deux dernières décennies … ».

C’est vrai qu’il approchait drastiquement la quarantaine, loin d’eux était désormais les jeunes année de l’adolescence et de l’insouciance. Que pouvait-il dire? Qu’après la destruction de son rêve, il n’avait jamais vraiment remis sa vie sur les rails? Bon, il était vrai aussi qu’il c’était trouver en ce bar, une sorte de second foyer. Sa grande amitié avec le propriétaire et leur complicité avait aussi grandement aider. Mais qu’avait-il fait depuis ? Bonne question… A vrai dire il n'était pas malheureux de sa vie, mais qu'avait-t-il a dire ? Il avait une vie calme paisible et presque routinière. Un petit appartement, un travail stable dans un bar et toujours clinquantes nouvelles rencontre par semaine

« Et si ce foutu bar ne nous séparait pas, si tu n’étais pas sur ton lieu de travail, si je n’étais pas un poil plus sobre… j’aurais pu t’em… t’enlacer ! »

Le sang d’Owen ne fit qu’un tours. Avait-il bien entendu cette légère hésitation, ce petit -et ô combien- délicieux petit fourchement de langue. Électrisé de la tête au pied, le Barman arqua un sourcil, affichant une mine beaucoup plus espiègle qu’il l’aurait voulu.

- Oh tu sais…» Comment-ça-t-il du tac au tac d’une voix rauque, presque graveleuse «Moi ce n’est pas le bar qui me dérange, lui je saurais parfaitement le mettre a profil… Les petits yeux indiscret par contre, c’est une autre histoire.»

Se léchant les lèvres a nouveau, Il se redressa. Reculant lentement du comptoir ou il c’était penché pour lui susurrer ses petites perches. Laissant planer sur elle, son regard lourd de sous-entendu. Heureusement qu’il lui restait une petite once de conscience car l’idée de la soulever pour l’assoir sur ce bar était particulièrement attrayante. Et une fois bien assises là, qui sait ce qu’il aurait envie de lui faire…  Et des idées l’homme en avait des tas. Forcément, quelques choses dans cette soirée alimentaient l’imagination fertile de l’homme. Quelques choses lui passa en tête et Owen approcha doucement, une idée en tête.

- Donne moi ton bras» ordonne-t-il la voix toujours aussi chaude. Les yeux étincelants d’une lueur espiègle.

Owen releva son regard et balaya la pièce d’un autre rapide coup d’œil. Bien évidemment certain devaient se poser des questions. Les commères de la place surtout. Les habitués, ceux d’ont il connaissait le nom et la consommation sur le bout de ses doigts. Même s’il terminait souvent son quart de travail, une femme pendue à son bras. Owen était relativement discret. Il ne s’affichait jamais autant, voir presque pas. Il était rusé et avec son petit sourire de professionnel, il avait appris a tiré profil de son poste de Barman créant de nombreuses opportunités avec la gentes féminine. Or si son manque de discrétions avait attiré les regards c’était surtout Savannah qui devait être au cœur des interrogations. Ne suffisait-il pas seulement d’un regard pour comprendre qu’ils ne jouaient pas dans les mêmes catégories ? Une femme d’expérience, belle et raffiné tombait rarement entre les doigts d’un Barman volage et insouciant. L’évocation du bar, le foudroya sur place, ramenant le regard de l’homme directement dans les prunelles de la femme. Enflammés par de nouvelles envies toute plus démente et torrides les une que les autres, il passa sa main dans ses cheveux, la fixant de plus belle.
Décidément, elle semblait avoir compris l’effet qu’elle avait sur lui. L’envie de sauter de l’autre côté du bar et de la prendre par la taille pour la sentir contre lui, lui effleura l’esprit. Se fesant violence pour rester le plus professionnel possible, il ne pu réprimer un coup d’œil satisfait lorsqu’il l’observa avec intérêt retirer sa veste. Évidament. Une chemise blanche. Owen se frotta le bout du nez. Il lui suffirait seulement d’un petit coup sec pour faire sauter tout les boutons de cette chemises. Heureusement pour elle, il était en poste, et se devait de rester plutôt sage.

- Qu’est-ce que tu vas faire avec ? Ne l’abîme pas, ce serait dommage qu’il ne puisse plus servir, elle lui répondit sur le même ton.

Owen éclata de rire, puis lui décrochant un petit clin d’œil. Il pivota, récupérant quelques choses dans un petit panier puis s’approchant d’elle, avec assurance. Il c’était attendu à ce qu’elle résiste et pourtant non. Cette confiance l’embrasa encore plus, bien conscient que son geste -innocent- en soit, allait probablement donner un autre tournant a cette soirée. Éloignant son verre, d’un geste rapide, afin d’éviter que ça ne leur tombe dessus, Owen se pencha au-dessus du bar. Glissant avec douceur ses doigts sur la main de Savannah, prenant soin de remonter avec une lenteur calculer jusqu’à son bras, son regard toujours bien ancré au siens. Il était si proche, qu’il aurait très bien pu lui dire tout un tas débilité qu’elle seule aurais pu entendre, hors, il se contenta de lui envoyer un sourire fiévreux, se penchant sur son bras ou toujours avec lenteur, il fit glissé la pointe d’un crayon. Un crayon noir, rien qui ne pourrait abîmer sa jolie peau, prenant soin d’écrire haut, pour être certain que dans le cas ou ça ne partirais pas après un premier lavage, que celle-ci puisse rentré travailler sachant qu’elle emporterait son écriture sous son linge.

- Comme ça on pourra dire que j’ai lai ma marque sur toi» lui souffle-t-il a quelques pouce seulement de son oreilles, prenant soins de s’enivrer son odeur «Et comme ça je serai certain de te revoir»

Puis doucement et a regret il se redresse. Le regard enflammés et fiévreux. Il observe avec une satisfaction évidente le ‘’NE DISPARAÎT PLUS.’’ Suivit des chiffres qui composes son numéro de téléphone. Il aurait pu lui donner un papier avec les même petits écrits dessus, mais c’était certainement beaucoup moins érotique que le fait de lui écrire à même la peau. Tournant le crayon vers elle, il lui offrit son avant-bras pour l’incités à faire de même.